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  • Rwanda. 30 ans après le génocide, il est urgent que justice soit rendue

    Alors que débute dimanche 7 avril la 30e commémoration du génocide de 1994 contre les Tutsis au Rwanda, au cours duquel quelque 800 000 personnes ont été tuées, dont des Hutus et d’autres qui se sont opposés au génocide et au gouvernement extrémiste qui l’a orchestré, Amnesty International appelle la communauté internationale à réaffirmer d’urgence son engagement à garantir la justice et l’obligation de rendre des comptes pour les victimes et les rescapés.

  • Dites non aux expulsions forcées au Bénin

    Depuis les plages de Cotonou jusqu’aux rivages d’Ouidah, des milliers de familles béninoises vivent un cauchemar sans fin, victimes des expulsions forcées orchestrées au nom du développement touristique. Agissons maintenant pour que ces familles ne soient plus condamnées à vivre dans l’ombre de leurs anciens foyers, pour que leur droit à un avenir sûr et prospère soit respecté.

  • Afrique/COP28. La voix unifiée des leaders africains doit donner la priorité aux droits humains et à la justice climatique

    Les leaders africains qui participent cette année à la Conférence des parties (COP28) de la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) doivent éviter les erreurs faites lors du premier Sommet africain sur le climat, à l’issue duquel ils ont adopté la Déclaration de Nairobi sur le changement climatique et l’Appel à l’action (Déclaration de Nairobi) qui, sous de nombreux aspects, n’accorde pas véritablement la priorité aux droits humains et à la justice climatique pour le continent, a déclaré Amnesty International le 29 novembre 2023.

  • Faites cesser les menaces visant Thapelo

    Thapelo Mohapi aime écouter du jazz et encourager ses équipes de football préférées, mais pour l’heure, il ne peut rien faire de tout cela. En 2021, il a dû se cacher parce que sa vie était menacée.

  • Un combat pour préserver leurs terres ancestrales

    Uncle Pabai et Uncle Paul sont des dirigeants autochtones du peuple Guda Maluyigal, dans les îles du détroit de Torrès, la région la plus au nord de l’Australie. Pendant des milliers d’années, leurs ancêtres ont vécu sur ces îles. Aujourd’hui, en raison du changement climatique, leur mode de vie, leurs systèmes de connaissances traditionnels, leurs pratiques culturelles et leurs connexions spirituelles, transmis de génération en génération, pourraient être perdus à jamais. L’élévation du niveau de la mer est chaque année plus destructrice : elle érode les plages, détruit les sites culturels sacrés et les cimetières où reposent les ancêtres, ravage les potagers, et menace les infrastructures des îles.

  • Elle réclame justice pour son fils

    Ana Maria Santos Cruz est une mère aimante. Elle aime assister avec sa fille à des concerts et à des événements culturels à Salvador, au Brésil. Cependant, depuis la mort de son fils, Pedro Henrique, Ana Maria a l’impression qu’on lui a arraché une part d’elle-même.

  • Exigez la liberté pour Ahmed Mansoor

    Avant son arrestation, Ahmed était l’une des dernières personnes aux Émirats arabes unis à transmettre au reste du monde des informations indépendantes et fiables sur les violations des droits humains dans son pays. Il attirait souvent l’attention sur les arrestations, les actes de torture et les procès iniques subis par les personnes qui s’élèvent contre le pouvoir en place. Il évoquait des problèmes au sein du système judiciaire et dénonçait les lois nationales contraires au droit international.

  • Il faut libérer la militante tunisienne Chaima Issa

    Chaima a été l’une des premières à s’élever publiquement contre le président tunisien Kaïs Saïed lorsque, en juillet 2021, celui-ci a invoqué des pouvoirs d’exception pour suspendre le Parlement, limoger le chef du gouvernement et prendre le contrôle du pays. Depuis cette prise de pouvoir, la situation des droits humains en Tunisie est plus fragile que jamais. La liberté d’expression est menacée. Les tribunaux militaires prennent les opposant·e·s au gouvernement pour cible et le système judiciaire manque d’indépendance.

  • Burkina Faso. Des groupes armés commettent des crimes de guerre dans des localités assiégées

    Ansaroul Islam et d’autres groupes armés ont brutalement assiégé des localités à travers le Burkina Faso, commettant des crimes de guerre et des atteintes aux droits humains — homicides de civil·e·s, enlèvements de femmes et de filles, attaques contre des infrastructures civiles et des convois de ravitaillement — qui ont de graves conséquences humanitaires, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport publié le 2 novembre 2023.