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  • Espagne. L’« absence de coopération » de la part d’Israël concernant l’entreprise éditrice du logiciel espion Pegasus met en évidence l’impunité

    Réagissant aux informations indiquant qu’une enquête espagnole portant sur le logiciel espion Pegasus de l’entreprise israélienne NSO Group, qui aurait notamment été utilisé pour pirater les téléphones du Premier ministre et d’autres ministres espagnols, a été suspendue en raison de l’« absence de coopération » de la part d’Israël, Donncha Ó Cearbhaill, responsable du Security Lab d’Amnesty Tech, a déclaré :

  • Justice pour les personnes tuées lors de manifestations au Sénégal

    Depuis 2021, les familles de personnes tuées lors de manifestations attendent impatiemment le moment où elles seront convoquées devant une cour de justice pour témoigner et voir les responsables des violations des droits humains qu’elles ont subies, rendre des comptes. À ces familles s’ajoutent récemment plus d’une vingtaine d’autres qui viennent de perdre un proche tué lors des manifestations de juin 2023. Agissez dès maintenant et demandez justice pour elles en envoyant un courriel aux autorités sénégalaises.

  • Libérez les personnes détenues pour avoir exprimé leurs opinions au Cameroun

    Plus d’une centaine de personnes sont détenues arbitrairement au Cameroun, simplement pour avoir exercé leurs droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique. Agissez maintenant et exigez la fin de la détention arbitraire d’activistes politiques, de défenseurs des droits humains et de manifestants.

  • Halte aux expulsions forcées à Kolwezi, en RDC

    La population de la République démocratique du Congo (RDC) paie un lourd tribut pour fournir du cuivre et du cobalt aux pays du monde entier : expulsions forcées, destructions illégales de logements et violences physiques se produisent en nombre. Envoyez un message au président Félix-Antoine Tshisekedi pour lui demander de mettre fin aux expulsions massives et aux autres atteintes aux droits humains commises dans les mines de cuivre et de cobalt en RDC.

  • Votre pays ne doit pas être le dernier à ratifier le protocole de la cour africaine. Changez cela maintenant!

    Le Mali est l’un des huit (8) pays qui permettent aux individus et aux ONG de directement saisir la Cour Africaine. Grâce à cela, en 2018, la Cour africaine a ordonné la modification d’une loi de 2011 qui autorisait les mariages précoces et forcés au Mali. Deux ONG avaient porté plainte contre la loi car c’était le seul moyen de la combattre légalement. Cela n’aurait pas été possible dans l’un des 25 pays qui n’ont pas déposé la déclaration permettant aux particuliers et aux ONG d’accéder directement à la Cour, et encore moins dans les 22 autres pays qui n’ont même pas ratifié le protocole de la Cour africaine. Agissez dès aujourd’hui pour exiger de ces 22 pays qu’ils ratifient au moins le Protocole portant création de la Cour africaine, et mieux encore, vous donnent également un accès direct à la Cour !

  • Sénégal : Justice pour les personnes tuées lors de manifestations

    Mourir sous les balles de la police : c’est ce qui est arrivé à plusieurs personnes au Sénégal lors des manifestations de juin 2023 et mars 2021. Aucune justice n’a été rendue pour les manifestants tués en 2021 et aucune enquête n’a encore été ouverte pour les manifestants tués en 2023. Pour que cesse la répression et l’impunité, interpellez les autorités sénégalaises !

  • Sénégal : Amnesty International demande une enquête indépendante sur la répression meurtrière lors des manifestations

    Les autorités sénégalaises doivent immédiatement enquêter de façon indépendante et transparente sur la mort d’au moins vingt-trois personnes, dont 3 enfants, lors des manifestations violentes du 1er et 2 juin 2023 et faire la lumière sur la présence de personnes en civil armées opérant aux côtés des forces de sécurité, a déclaré Amnesty International aujourd’hui après avoir recueilli des témoignages et documenté les cas de décès enregistrés lors de ces journées.

  • Renforcement des capacités des  démultiplicateurs : Un pas vers un militantisme stratégique efficace en faveur des droits humains au Burkina Faso

    Le vendredi 19 mai 2023, dans la salle de conférence de la résidence Lafia à Bobo Dioulasso, Amnesty International Burkina Faso a organisé un atelier de formation sur l’activisme stratégique à l’attention de ses démultiplicateurs. Cette formation a été assurée conjointement par le Directeur Exécutif, le coordonnateur Campagnes et Actions, ainsi que le coordonnateur Croissance et Activisme.

  • Amnesty International Burkina Faso : Un café du monde pour la défense des droits humains.

    Le samedi 20 mai 2023, dans le cadre verdoyant de la Villa Rose de Bobo Dioulasso, Amnesty International Burkina Faso a organisé son traditionnel « café du Monde » autour du thème portant sur le prochain passage du Burkina Faso à l’Examen Périodique Universel (EPU) des Nations Unies et la situation du respect des Droits Humains. Cette initiative visait dans un premier temps de partager avec les membres, sympathisants et partenaires de l’organisation, la communication de Amnesty International sur la mise en œuvre des recommandations formulées à l’intention du Burkina Faso lors de son précédent EPU et dans un second temps d’engager des discussions sur la situation du respect des Droits Humains au Burkina Faso.